Le 13 décembre 2006, l’Assemblée générale a adopté la Convention relative aux droits des personnes avec un handicap et son Protocole facultatif A/RES/61/106). Ce premier traité du 21e siècle sur les droits de l’homme a été négocié avec l’active et constructive participation des ONG.
ONUSIDA est un programme commun coparrainé des Nations Unies sur le VIH et le sida auquel participent des organisations telles que l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), l’UNICEF et le Programmes des Nations Unies pour le Développement (PNUD). En décembre 2010, ONUSIDA a établi une stratégie pour les prochaines année
Quels que soient les lieux où se trouvent les religieuses du Sacré Cœur, elles sont toutes engagées dans l’éducation sous une forme ou l’autre et à différents niveaux. De la petite enfance aux classes secondaires et à l’université, dans l’éducation professionnelle ou dans l’éducation non formelle auprès des exclus et des marginalisés, les religieuses du Sacré Cœur ont un cœur d’éducatrices.
Les populations autochtones à travers le monde sont estimées à 370 millions de personnes, disséminées en plus de 90 pays, selon l’Instance Permanent sur les Questions Autochtones. Elles sont souvent exposées à la discrimination et comptent parmi les plus pauvres du monde : analphabétisme, manque de soins de santé et de services sociaux. Elles subissent beaucoup plus que d’autres les effets du changement climatique, de la déforestation et des autres formes de dégradation et d’exploitation de l’environnement.
Lorsque l’on ouvre la TV ou les journaux, l’on est confronté chaque jour à des actes de violence et des situations de violation fragrante de la dignité inhérente et des droits de l’homme – par exemple en RDC, en Lybie … parfois même à deux pas de chez nous. Ces réalités nous ont incitées dans la Société à inventer de nouvelles façons d’être artisans de paix – éducatrices de vérité et de paix, dans les salles de classe et en dehors, dans des groupes de femmes et dans notre travail auprès des enfants.
Toutes les secondes, deux personnes s’ajoutent à la population urbaine – aujourd’hui la moitié des près de 7 milliards de la population mondiale habite dans les villes. On prévoit que ce nombre va augmenter de 60% d’ici 2030. La croissance urbaine est plus rapide dans le monde en développement où les villes s’accroissent d’environ 5 millions d’habitants par mois. Ces statistiques et d’autres sont effrayantes et pourtant réelles.
Le 1er décembre, le monde célébrera une fois de plus la Journée Mondiale du SIDA. L’Objectif du Millénaire pour le développement n°6 (OMD n°6) porte sur la lutte contre le SIDA. Tandis qu’enrayer le VIH/SIDA d’ici 2015 est l’Objectif n° 6A, l’Objectif 6B est de procurer un accès universel aux traitements d’ici 2010. Beaucoup d’efforts ont été réalisés pour atteindre cet objectif 6B.
Le 16 novembre, les Nations Unies vont de nouveau commémorer la Journée mondiale de la tolérance, créée par l’Assemblée générale en 1996.
Qu’une catastrophe survienne, comme les tremblements de terre en Haïti et au Chili, et les gens sont soudain obligés de fuir pour se mettre à l’abri ou en sécurité.
Un conflit armé fait rage dans un pays et des communautés entières se déplacent pour échapper à la violence.
María Jiménez Albarrán, a gagné le Premier Prix au Concours d’Art et de Moyens Audio-visuels EXPRÉSATE (Exprime-toi) “Les Droits des enfants et des adolescents” organisés par l’ONU, le Secrétariat des Relations Extérieures du Mexique et Save the Children. Elle a tout d’abord été invitée par le Sénat de la République (du Mexique) où elle a reçu un hommage particulier avant d’être invitée à dîner avec les Sénateurs.
Le 16 novembre, les Nations Unies célèbrent la Journée internationale de la Tolérance, dont le but est de promouvoir le respect et la compréhension entre les peuples. Cette journée a été créée en 1996 par la Résolution 51/95 de l’Assemblée générale des Nations Unies, pour souligner l’importance de la tolérance comme fondement de la paix civile et mondiale. A mesure que le monde s’élargit, les cultures et les idées se répandent, et si la rencontre de ces cultures est un fait encourageant, il reste que l’intolérance demeure puissante.
Début septembre 2008, j’ai eu la chance de participer avec José Basaula, Maria Teresa Devoto, Isabelle Lagneau et Cecile Meijer à la session qui a lieu chaque année à New-York pour les ONG auprès des Nations Unies. L’immeuble de New-York étant en rénovation, les conférences DPI/ONG auront lieu pendant quelques années en dehors des E.U. Le siège de l’UNESCO à Paris se présentait bien comme premier lieu puisque nous fêtons cette année le 60ème anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, signée à Paris en 1948.
